Actuellement, 40 % des étudiants qui n’ont pas pu rejoindre leur famille et quitter leur logement du Crous ont été contraints d’y rester pour respecter le confinement. En effet, ces étudiants sont dispersés partout en France et d’après les constatations, ils vivent une situation des plus déplorables à cause de leur condition de vie précaire.
Eh oui, ces derniers qui sont majoritairement des boursiers ou des étudiants internationaux vivent un vrai enfer dû au fait que les établissements publics dans lesquels ils sont installés ne sont pas aux normes à cause de la présence de certains nuisibles et aussi qu’à cause du confinement mis en place, ils sont en difficulté sur le plan financier, ce qui fait qu’ils sont totalement détresse sociale.
Des logements infestés par des punaises de lit
Pour les étudiants qui vivent dans les Centres régionaux des œuvres universitaires ou Crous, le confinement rime surtout avec des conditions de vie exécrables. Effectivement, en plus de ne pas pouvoir sortir, ces derniers, qui sont au nombre de 59.000 doivent faire face à une infestation de nuisibles, notamment les cafards, mais surtout aussi les punaises de lit.
Il leur est de ce fait encore plus difficile de vivre le confinement surtout que l’on sait précisément les ravages que peuvent provoquer ces nuisibles notamment les punaises de lit, qui en passant font vivre un vrai cauchemar à des milliers de gens à travers toute la France.
Eh oui, en plus de devoir s’isoler, ces étudiants qui logent dans les Crous sont également en danger à cause des piqures des punaises de lit qui ne permettent aucun confort de vie et qui peuvent même amener des problèmes de santé graves sur le plan psychologique et mental.
Des difficultés à se nourrir pour les étudiants vivant au Crous
En plus de devoir vivre avec les punaises de lit, les étudiants qui sont confinés dans les Centres régionaux des œuvres universitaires doivent également se battre contre le manque de nourriture. En premier lieu, cela est dû au fait que les restaurants universitaires ainsi que les épiceries solidaires de proximité sont fermés, mais aussi qu’à cause du fait de ne pas pouvoir sortir, ils ne peuvent pas travailler et donc sont dépourvus de leurs revenus.
